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Faites la connaissance de la grande gagnante de la quatrième édition du Concours national d'essais universitaires

Le Concours national annuel d’essais universitaires a pour but de recueillir les idées des étudiants afin d’améliorer la fonction publique fédérale et d’avoir une influence favorable sur l’avenir du Canada. Gagner ce concours est tout un exploit. En effet, les finalistes doivent réussir les trois niveaux du processus de sélection, produire une vidéo, se soumettre à un vote en ligne et défendre leurs idées face à un jury composé de cadres supérieurs de la fonction publique.

Tel qu’annoncé en février 2017, la gagnante de la quatrième édition du Concours national d'essais universitaires est Hope Caldi, pour son essai intitulé « Offrir un accueil chaleureux et intelligent : recommandations pour la réforme du Programme de prêts aux immigrants du Canada ».

Le grand prix comportait un voyage à Ottawa permettant à Hope d’assister à la prestigieuse Conférence Manion du 10 mai 2017, où le greffier du Conseil privé lui a présenté son certificat. Elle a également obtenu un stage rémunéré à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, pendant lequel elle a pu travailler sur des enjeux en lien avec le sujet de son essai ainsi que ses intérêts professionnels. 

De gauche à droite : Michael Wernick, greffier du Conseil privé, et Hope Caldi, gagnante de la quatrième édition du Concours national d’essais universitaires.

« Le concours s’est révélé être une expérience formidable et gratifiante, jalonnée de moments phares comme la présentation de mon travail à des sous‑ministres et la rencontre avec le greffier du Conseil privé à la Conférence Manion. Mon stage à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, qui m’a été proposé grâce au concours, fut une expérience des plus enrichissantes. Je suis heureuse d’avoir vu les politiques en matière d’établissement et d’intégration pour les nouveaux arrivants à l’œuvre à l’échelon fédéral. Je me sens privilégiée d’avoir pu vivre cette expérience et je tiens à remercier ma coordonnatrice, Nancy Olewiler, ainsi que l’École de politiques publiques de l’Université Simon Fraser, de l’appui qu’elles m’ont témoigné tout au long de cette aventure. » [Traduction] – Hope Caldi